Thérapies hormonales


1. ŒSTROGÈNES

2. PROGESTÉRONE

3. D.H.E.A

PREGNENOLONE

La PREGNENOLONE est la « grande mère » de nos hormones, et elle est fabriquée par le corps humain à partir du cholestérol.

Elle commence à baisser à partir de 35 ans, parfois avant en cas de mauvaise hygiène de vie et surtout en cas de surmenage et de stress !

C'est une pro-hormone qui entre dans le cadre du traitement globale de la médecine anti-âge :

 

Améliore la mémoire et la concentration

 

Anti-inflammatoire

 

Diminue la fatigue

 

Intervient dans l’humeur et la sensation de bien-être


Uniquement prescrite en cas des carences révélées lors d’un prélèvement sanguin, à prendre 1x le matin ou à midi.



Testostérone

La testostérone, est une hormone mâle sécrétée chez la femme principalement par les surrénales et accessoirement par les ovaires, joue un rôle dans le désir sexuel et la sensibilité du clitoris. C’est aussi une hormone énergisante qui tonifie les muscles et l’humeur, améliore la peau sèche et la cellulite, ainsi que les capacités cognitives (mémoire et attention).

Elle est Indiquée surtout chez la femme ménopausée afin de diminuer son risque d’ostéoporose. La testostérone circule dans le sang sous deux formes :

 

Totale. Liée à la protéine SHBG = peu d'effets sur l'organisme

 

Libre. Bio disponible = utilisable par l'organisme


8 signes de faible taux de testostérone chez la femme (ce diagnostic ne peut être posé que chez les femmes avec un taux d’oestrogène normal)

1. Manque d’énergie, fatigue

2. Troubles de l’humeur

3. Perte du désir sexuel et manque de sensibilité du clitoris

4. Peau sèche et cheveux secs cassants

5. corps mou, relâché

6. Augmentation de la graisse avec un ventre flasque

7. Cellulite

8. Petites rides autour de la bouche


Comment traiter un faible taux de testostérone ?

Le traitement peut se faire par du gel liposomal 1%, de manière intermittente après avoir exclu des thromboses, des maladies cardio-vasculaires et de divers cancers.



6. ALDOSTÉRONE

Hormones thyroïdiennes

Une hypothyroïdie se compense le mieux, selon mon expérience, par l’administration d’hormones thyroïdiennes contenant aussi bien de la T3 (l’hormone active) que de la T4 (la pro-hormone, 3 à 5x moins active), comme par ex. Armour Thyroid (extrait thyroïdien d’origine animale).

Un extrait thyroïdien d’origine animale présente l’avantage supplémentaire, d’après l’expérience des patients, d’agir de façon plus stable durant les 24 heures et d’être mieux toléré.

Les produits ne contenant qu’une des deux hormones (par ex. que la T4: L-thyroxine, etc. ou que la T3: Cytomel) ne semblent pas apporter d’améliorations cliniques aussi satisfaisantes chez les patients hypothyroïdiens. Par contre une amélioration très nette s’observe lorsque ceux-ci passent à un produit contenant aussi bien de la T3 que de la T4.


Comment débuter un traitement ?

Toujours par la prise de petites doses, que vous augmentez progressivement (en moyenne 4 à 6 mois avant d’arriver à la dose adéquate). Ne vous étonnez pas, en tant que patient, de ne ressentir qu’après 6 à 8 semaines de traitement les premières améliorations. Ces tablettes sont à avaler à jeun le matin, 30 min. avant le petit déjeuner, et doivent être dissociés d’au moins 4 h des gélules contenant du calcium, fer et pansement gastriques.

La dose optimale des préparations thyroïdiennes est très variable d’un patient à l’autre. Certains patients se sentent bien avec 30 mg d’Armour Thyroïd, d’autres nécessitent parfois 240 mg.


Comment trouver la dose adéquate ?

En se soumettant à un contrôle régulier chez un médecin expérimenté. Celui-ci constate l’amélioration survenue à l’examen physique (par la disparition des symptômes d’hypothyroïdie par ex. des réflexes achilléens devenus plus vifs, des mains et pieds plus chauds, une peau et des cheveux moins secs, ayant plus d’éclat, disparition de l’oedème des paupières inférieures...) et dans les tests (sang, urine de 24 heures).

Mais aussi, et ceci est capital, par la disparition des plaintes typiques d’hypothyroïdie du patient (par ex. la disparition de la frilosité anormale, de la fatigue (matinale), de la tendance dépressive, des crampes musculaires nocturnes, des maux de tête...). Puisque la dose appropriée varie fort d’un individu à l’autre, la connaissance par le patient des symptômes de surdosage s’avère très important pour une bonne mise au point du traitement.


Comment reconnaître un surdosage ?

A une série de signes cliniques ou plaintes présentes 24h/24 et non pas de façon fugace (dans ce cas pensez à tout autre chose comme le stress). Ce sont des symptômes d’un éclat de « sur vitalité » :

1. Palpitations rapides (par ex. -100/min)

2. Avoir trop chaud

3. Sueurs profuses sur tout le corps

4. Soif constante

5. Insomnie, tremblements fins des doigts

6. Amaigrissement important malgré un bon appétit

7. Manque de force musculaire

8. Nervosité anormale (avec sensation de tremblement intérieur mêlée à beaucoup d’angoisse répétées ou à des sursauts d’agressivité) sans raison apparente


Lors du passage à une dose supérieure en préparation thyroïdienne, le patient peut éprouver pendant 2 - 3 jours quelques légers symptômes de surdosage (période d’adaptation). Inutile de s’inquiéter. Mais si ces symptômes persistent 4-5 jours ou plus, s’aggravent, alors la dose est excessive, et la personne traitée doit arrêter toute consommation de boissons caféinées et diminuer la dose.


Précautions

Faites attention à la caféine (le café ou le thé, le coca, les grandes quantités de chocolat brun ou fondant): à éviter de préférence et à ne consommer qu’occasionnellement de façon modérée.

Eviter aussi les antidépresseurs (tricycliques) et les amphétamines (les coupe-faim).

Si le patient oublie de prendre sa dose le matin, celle-ci peut être prise plus tard dans la journée (même si l’absorption intestinale n’y est plus aussi optimale).

En cas de maladie le patient peut prendre d’autres médicaments (antibiotiques, aspirine, etc.) mais si possible pas simultanément avec les hormones thyroïdiennes, pour éviter toute malabsorption.


Adaptation de la dose

Les circonstances suivantes peuvent amener à :

  Diminuer la dose : en été dans le sud (climat plus chaud), à la côte (plus d’iode), lors de gros stress (trop d’adrénaline) ou de diminution importante de l’activité physique.

  Augmenter la dose : en hiver et dans le grand nord (climat plus froid), dans les montagnes (moins d’iode), lors d’exercices physiques importants.


Conclusion

Ce traitement hormonal démarre par petites doses, les améliorations surviennent lentement mais sûrement. Ce traitement s’attaque à la cause c.à.d. la carence en hormones thyroïdiennes. Il est particulièrement approprié pour tous ceux souffrant d’une hypothyroïdie.


Quels sont les effets secondaires ?

  A court terme : aucun, puisque le patient hypothyroïdien ne fait que combler un déficit en molécules de son corps. Et il le fait en ingérant des molécules qui sont identiques à celles produites par sa glande thyroïdienne (qui ne parvient pas à en fabriquer suffisamment). Le corps ne reçoit donc que des molécules pour lequel il est fait.

  A moyen et long terme : aucun non plus, si le patient hypothyroïdien est traité à la dose adéquate; Seul danger, c’est de prendre des doses d’hormones insuffisantes ou en excès pendant longtemps. ce qui est facile à éviter si le programme est suivi correctement et le patient sait reconnaître les signes de sous ou de surdosage.


Les bénéfices

Pour le patient hypothyroïdien: une amélioration, parfois très nette, de sa santé, du fonctionnement de tous les tissus de son corps, mieux irrigués, et une vie probablement prolongée.


Et si le patient arrête son traitement ?

Comme le traitement aux hormones thyroïdiennes ne fait que combler un manque en hormones thyroïdiennes, et ne stimule pas la glande thyroïdienne en soi, l’on observe à l’arrêt d’un traitement : le retour progressif à l’état métabolique initial (avant traitement), la réapparition progressive des symptômes hypothyroïdiens au cours des semaines, des mois, des années suivant cet arrêt.

A l’arrêt d’un traitement, il ne faut donc pas redouter l’apparition d’une insuffisance thyroïdienne plus grave que celle qui préexistait à tout traitement.

A condition bien sûr que le traitement ait été bien conduit, et qu’aucun autre fait médical important (maladie ou accident) ne soit survenu entretemps.



Hormone de croissance


Il est virtuellement impossible avec un taux d’hormone de croissance bas de construire le muscle, et de brûler la graisse



  Saviez-vous qu’à partir de l’âge de 18 ans, votre taux d’hormone de croissance commence déjà à baisser ?

  Aussi à partir de 30 ans notre corps ne produit plus assez d'hormone de croissance pour réparer tous les micro-traumatismes qui se produisent dans notre corps.

  En fait plus que l'hormone de croissance diminue plus des micro-lésions cellulaires qu’on appelle VIEILLISSEMENT s’accélèrent.


Cela veut dire que chaque année il est plus difficile de perdre du gras et gagner du muscle, et donc chaque année il faudra faire plus d’efforts plus intenses et plus de régime draconien afin de garder vos muscles sans perdre aucun gras.


Si vous souffrez d'un ou plusieurs symptômes

1. Votre force et/ou masse musculaire diminue (malgré des entraînements intenses et réguliers)

2. Votre graisse abdominale augmente (alors que votre alimentation reste saine)

3. Diminution de la libido

4. Irritable et/ou anxieuse (diminution de votre joie de vivre alors que tout va bien autour de vous)

5. Vos cheveux deviennent plus minces

6. Vous êtes moins endurante

7. Vous récupérez plus difficilement (après un entraînement intensif ou une soirée tardive)


Alors peut-être êtes-vous en manque d’hormone de croissance...

Pas de stress, un simple prélèvement sanguin suffit à poser le diagnostic.



Testosterone